Activity: Checking-In
Remember Ali and Sarah? Help Sarah use Golden Rule #1 Say What You See to check in with Ali.
Hey, sorry I missed your call. So much homework 😫
What’s with you lately? Are you avoiding me?
This might make Ali defensive.
You stuck to the facts and opened up the conversation.
L’histoire de Benjamin et Sarah
Regarde cette vidéo de Benjamin et de son enseignante, Sarah. Tu y verras comment Sarah a appliqué la règle d’or « Montre que tu tiens à la personne » pour soutenir Benjamin lors d’une période difficile.
Traumavertissement : mentionne les idées suicidaires.
Traumavertissement : mentionne les idées suicidaires
Benjamin : Moi, c’est Benjamin.
Sarah : Moi, c’est Sarah.
Benjamin : Puis, moi, je suis arrivé à Montréal voilà presque cinq ans. Puis j’ai rencontré Sarah quand j’étais au collège; c’était ma prof.
Sarah : Je suis prof de sciences politiques et donc de sciences sociales, de sciences humaines. Les humains sont des gens qui m’intéressent et Benjamin fait partie de ce que j’appelle des étudiants de luxe : curieux, intéressés, intéressants et intègres.
Benjamin : Sarah m’a vraiment aidé quand j’étais au cégep à cause que c’était vraiment une période difficile où… bien, j’avais des crises. Des crises suicidaires, des idées noires, puis c’était aussi beaucoup de… C’était pas comme de l’anxiété ou de la dépression, mais c’était vraiment un amalgame de mal être, là. Je savais où était ma place dans la vie, puis j’avais comme appris beaucoup de choses négatives sur des personnes comme moi.
Sarah : Donc, après que les cours soient finis, il vient me voir dans mon bureau. Mais là je sens qu’on a besoin de parler, de discuter de… Et puis on l’a fait, et puis on parlait, puis c’était agréable, là; c’était pas un fardeau. C’est pas un fardeau, c’est un échange entre deux humains. C’est un échange entre deux humains, puis comme prof, bien, j’ai l’autorité, pas une autorité pour faire du power trip, mais une autorité et je prends pas ça à la légère. Je prends pas ça à la légère; je crois que c’est une expérience, parce que je suis plus vieille, parce que j’ai des expériences dans la vie et que si je peux partager mes expériences puis si je peux être à l’écoute, parce que quelqu’un a besoin de parler, ben, c’est ça.
Benjamin : Ben, moi, j’avais vraiment l’impression que Sarah était là pour moi à cause… C’était tous les petits gestes qu’elle faisait, tu sais. Vu que, moi, y’avait pas beaucoup de personnes autour de moi, tu sais, les messages qu’elle m’écrivait, c’était des fois le seul message que j’avais dans la journée. Un des seuls messages positifs que j’avais.
Sarah : Quand on fait confiance, comme Benjamin m’a fait confiance, ben, la plus belle chose que je crois… la chose la plus importante à faire, c’est d’honorer cette confiance-là. Puis, justement, on n’est pas seul. On n’est pas seul, puis y’a d’autres gens avant nous qui ont lutté pour qu’on puisse tous, avec toutes nos différences, avoir le droit d’être puis d’exister.
Benjamin : Un truc que ça m’a vraiment… que je suis content, en fait, de t’avoir eu dans ma vie, c’est ça m’a vraiment aidé comme à faire un grand changement, tu sais. Parce que des fois, t’arrives dans des moments tellement difficiles, que c’est difficile de… tu ne sais plus où t’en aller, puis t’as tout, puis tu m’as comme guidé. Ah ben, il existe tel, tel chemin, si ça tente que… des personnes comme toi qui ont déjà fait ce chemin-là, qu’il y en a d’autres qui ont déjà fait ça, tu sais. Ça fait que …
Sarah : Et souvent, quand on est en période de vulnérabilité, on se juge tellement, puis on se juge tellement, puis on et tellement en train de se juger. Puis, Benjamin, je lui ai dit plus d’une fois : fous-toi la paix, donne-toi un break parce que là, là, t’es trop dur envers toi-même. Puis ça, je crois que c’est important de le rappeler, parce qu’on croit qu’on est tout seul. On croit qu’on est les pires au monde, etc. Puis, moi, j’ai une orchidée devant moi. Ça fait que… c’est pas la pire au monde, c’est une orchidée merveilleuse, tu sais, donc … Je crois que c’est un privilège d’être prof, puis… justement… pour ces moments-là où tu vois que tu peux avoir un impact sur la vie des gens et que ces gens-là ont de l’impact sur toi aussi.
Text content.
According to Be There, how should you create a safe environment for someone struggling with their mental health?
A classmate is feeling so anxious about an upcoming exam that they’re nauseous and have barely eaten all week. This change is…
Ali joined the science club
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Vidéos facultatives
Traumavertissement : montionne la dépression et un accident de voiture.
Traumavertissement : montionne la dépression et un accident de voiture
Amandine : Moi je m’appelle Amandine, j’ai 24 ans, puis j’suis française, puis j’ai rencontré Neil l’année dernière, en novembre. Moi, la première fois que je t’ai rencontré, j’étais quand même pas mal attirée direct. Je savais pas pourquoi, mais je voulais te parler. Je voulais attirer ton attention.
Neil : Amandine avait vraiment toujours le sourire en fait. T’étais vraiment… ça se voyait que t’étais heureuse et joyeuse. C’est ce qui était différent dans ce sens-là où j’pense qu’on a rapidement connecté sur un plan émotionnel, j’imagine, plus rapidement que ce que j’aurais pensé.
Amandine : On aime voyager tous les deux. On était à l’autre bout du monde, complètement dépaysés, juste nous et juste c’était le début de notre relation. Donc on apprenait à se connaître et c’était vraiment… j’sais pas si tu te souviens ce sentiment-là, mais c’était comme… j’avais l’impression qu’il pouvait rien m’arriver et que j’étais tellement en sécurité avec toi. J’ai eu une enfance pas facile. Enfin, j’ai beaucoup souffert dans ma vie et en étant avec Neil, j’avais l’impression que juste y pouvait rien m’arriver en fait. Il a créé, en fait, une sorte safe zone avec son amour sans être trop insistant, juste en étant ensemble, et on a pris notre temps, et c’était naturel. Après l’Islande , en fait moi j’suis retournée 10 jours en France pour les fêtes de Noël, puis en descendant de l’avion, j’ai pris la voiture, il pleuvait et mes pneus ont glissé. En freinant, mes pneus ont glissé, puis ma voiture s’est retournée, puis j’ai fait des tonneaux à 110 sur l’autoroute, puis j’ai fini dans le fossé, la voiture renversée. Puis moi j’avais… j’ai rien eu, mais psychologiquement c’était vraiment un gros traumatisme. Suite à ça, j’ai fait une dépression.
Neil : Je savais que ça allait pas déjà, donc j’me suis vraiment rendu compte seulement à son retour, mais c’était probablement pire que ce que j’imaginais.
Amandine : Je devais rentrer à l’hôpital, il m’a payé des frais d’entrée à l’hôpital et Neil restait avec moi toute la nuit aux urgences jusqu’à 6 heures du matin. Il s’est jamais plaint, il me l’a jamais reproché, il m’en a jamais voulu pour ça. Pour lui c’était, en fait, juste normal qu’il soit là. En fait sans toi, j’pense que j’aurais pas survécu en fait.
Neil : J’pense que c’était une des… une des choses le plus au top qui s’est produit au-delà du choc de l’accident. La joie de vivre que j’avais relevée au début, quand on s’est rencontré, ça avait disparu instantanément et à ce moment-là, j’étais pas capable de dire encore y’a un problème de dépression peut-être, ou quelque chose comme ça. C’était vraiment d’un point de vue santé et finalement, quand les choses ont commencé à se résoudre les unes après les autres, ça allait pas mieux en fait.
Amandine : Et en fait moi, j’voulais pas voir que… moi en fait j’arrivais pas à me rendre compte qu’il avait quelque chose qui allait pas bien, parce que quand on le vit on s’en rend pas forcément compte et c’est Neil qui a tiré la sonnette d’alarme, et qui a dit : « Ben en fait là Amandine j’pense qu’il faut que t’ailles consulter. Y’a vraiment quelque chose qui se passe qui est pas normal. » Puis on s’est relevé ensemble, on s’est battu ensemble et maintenant on va mieux ensemble.
Olivier : Moi je m’appelle Olivier Lépine.
Émilie : Moi je m’appelle Émilie. On s’est rencontré au bac en première année, puis maintenant on est des colocs.
Olivier : On savait déjà qu’on connectait bien. On a tellement fait de projets ensemble. On en a fait, autant des projets académiques que des projets personnels. On s’est investi dans certains projets en dehors de l’école, puis on savait qu’on avait beaucoup aussi de trucs en commun. Ça fait qu’on… par exemple, les deux on joue de la musique, ça fait que souvent on fait des jams à l’appartement ou des trucs comme ça.
Émilie : Puis aussi, un moment donné Olivier avait eu une période difficile, puis y’était resté une semaine avec mon chum puis moi. Puis ça s’est bien passé à trois dans notre petit 3½, donc ça a été quand même un bon indice que y’ avait du potentiel pour une cohabitation prolongée.
Olivier : La période difficile qu’on parlait c’était celle où je terminais une relation avec mon ex. Ça faisait trois ans qu’on était ensemble, puis là on était rendu où est-ce qu’on habitait ensemble, puis on venait juste d’emménager dans un nouvel appartement. Puis c’était comme une fin de relation qui était un peu difficile, parce que ça se prolongeait un peu sur quelques semaines. Ça se terminait pas vraiment, mais c’était comme un peu un flou, puis c’était… ça fait que c’est ça, c’est une période un peu difficile psychologiquement de ce côté-là, mais c’était aussi quand même difficile parce que c’était une période de transition. Ça fait que dans le fond, quand ça c’est terminé avec mon ex, j’me suis comme ramassé un peu où est-ce que je devais me trouver un autre appartement super rapidement. Puis quelques semaines après, je commençais ma thèse doctorale. Fallait que j’aie mes idées, fallait que je travaille au bureau, il fallait que je fasse plein de choses. Ça fait que beaucoup de stress, beaucoup d’anxiété, beaucoup de responsabilités à gérer. Des… plein de paperasse, plein de choses comme ça. J’me rappelle c’est quand même un moment où c’était pas facile. J’avais de la misère à parler, puis tout, puis je l’ai appelé, puis je lui ai dit : y faut que je me trouve un autre endroit où habiter. Elle puis son copain Mathieu sont venus me… j’me rappelle t’es venue me chercher à l’appartement. Pour être sûr que je puisse me rendre, puis que je me rende bien, puis que ça se passe bien, puis y m’ont hébergé.
Émilie : J’pense que de sentir que t’as des gens avec qui tu peux parler quand t’as envie de parler, pas parler quand t’as pas envie de parler, c’est toujours sécurisant. Donc on pouvait parler n’importe quand de la situation, mais en même temps on pouvait aussi juste se distraire, laisser ça de côté, puis passer des moments agréables. Ça fait que j’pense que ce côté-là aussi ça aidait.
Olivier : Je savais que si pendant un moment y’avait quelque chose qui se passait, puis je ressentais le besoin de me retourner vers vous, puis dire : ça va pas en ce moment, je le ressens que j’ai un sentiment qui est pas positif ben…
Émilie : J’pense que c’est normal de pas savoir quoi faire, de pas savoir c’est quoi, comme la bonne réponse quand quelqu’un a besoin d’aide, mais l’important c’est de laisser beaucoup d’opportunités pour que la personne exprime ses besoins, ses difficultés. Puis de pas forcer les choses, mais de vraiment faire sentir que y’ a de la place pour parler, ou pas, puis que c’est très flexible.
Olivier : C’est un soutien qui a été tout au courant, puis c’est une amitié qui a été tout au courant, ça fait que merci pour ça.
Lily: [00:00:00.32] Bonjour, je m'appelle Jinjiet souvent mes amis m'appellent aussi Lily.
Kangni: [00:00:05.00] Bonjour, Moi c'est Kangni et mes amis m'appellent Kangni.
Lily: [00:00:08.00] Oui, moi et Kangni, ça fait vraiment très longtemps qu'on s'est connues. En fait, je suis venue au Canada à l'âge de onze ans. Donc Kangni, c'est une, sinon la première amie que je me suis faite au Canada. En fait, on est allées au même secondaire, donc on s'est connues depuis secondaire un.
Kangni: [00:00:24.00] Donc en secondaire deux, j'avais treize, quatorze ans., je commençais à avoir des questionnements par rapport à mon orientation sexuelle et je pense à cet âge-là par rapport à la sexualité, c'est vraiment juste de la confusion. Les informations par rapport à la communauté LGBT, c'était pas nécessairement accessible non plus, mais à cet âge-là, je savais déjà que c'était tellement une partie importante de moi que je devais la partager avec les gens qui occupaient ma vie au quotidien. Donc, pendant un lunch, comme d'habitude, on mangeait ensemble. Je mangeais avec Lili et une autre amie, puis on s'est assis, puis je leur ai dit “Hey, les filles, je pense que j'aime les filles. Je sais pas ce que ça veut dire, mais je voulais vous partager cette information-là”.
Lily: [00:01:11.02] En pensant avec du recul, maintenant, à cette époque-là, quand j'avais treize, quatorze ans, j'en ai aucune idée, c'est quoi, une fille qui aime une fille, qu'est ce que ça implique. Venant d'une famille chinoise très traditionnelle, c'est pas quelque chose qu'on me parle, c'est pas des informations que j'ai. Puis aussi dans notre entourage, à l'école secondaire où on était, les cours, c'est pas quelque chose qu'on en parle du tout du tout. Et ce que je peux faire, c'est juste écouter puis essayer de comprendre.
Kangni: [00:01:45.00] Le fait qu'elle était juste là à continuer à être mon amie, à continuer à entretenir la même relation qu'on avait, c'était encourageant, c'était rassurant. Puis il n'y avait pas de jugement. Je pense que notre relation est juste vraiment basée sur la confiance, puis ça fait longtemps. Et je sais que notre rôle évolue à travers le temps, comme amie, comme personne qui est là pour toi.
Lily: [00:02:10.00] C'est quelqu'un qui a toujours été là pour moi, qui m'a aidée à retrouver moi-même dans un milieu, un mélange de cultures qui était très difficile pour moi.
Kangni: [00:02:22.00] Lily c'est une femme résiliente, que j'admire beaucoup mais que je lui dis pas parce que c'est pas comme ça que notre amitié fonctionne. Et je pense qu'à travers toutes ces années, ça a toujours été quelqu'un qui va me ramener à mon humanité puis me ramener à l'adolescente que j'étais il y a dix ans.
Nicole: [00:00:01.01] Voici Nicole, ma maman depuis maintenant 31 ans.
Frederique: [00:00:05.18] Voici ma fille Frédérique. Frédérique, c'est un enfant, quand elle était plutôt très jeune,à partir de l'âge de trois ou quatre ans, très curieuse, très allumée. Elle posait toutes sortes de questions, même, tu sais, je veux dire, elle était toujours en train de questionner des choses que normalement, c'est vrai qu'un enfant peut être à cet âge-là, a pas toujours le [00:00:30.00] réflexe ou l'intention de penser à tel événement ou à telle situation.
Nicole: [00:00:37.19] Puis je commençais à avoir beaucoup d'anxiété, des symptômes de ce qu'on, maintenant, de ce que je comprends, qui était une dépression existentielle. Puis, à un moment donné, on était sur l'heure du souper, puis j'ai pas touché à mon assiette. Puis là c'est là que tu m’a dit: “Frédérique, qu'est ce qui se passe?” Puis là, dans ma tête à moi, je vivais tout ça à l'intérieur mais tu savais [00:01:00.00] pas que j'allais pas bien. Mais là, tu m'as vraiment nommé des choses: “Ça fait quelques jours que je vois que t'es moins souriante”. Puis tu m'as vraiment nommé des changements qui s'étaient passés chez moi, notamment le fait que je mange pas. Puis c'est là que j'ai éclaté.
Frederique: [00:01:15.77] Le fait de la voir de même, je me sentais impuissante. Parce que quand tu vis une situation comme elle, elle vit, c'est ton enfant. Mais toi, tu sais, tu veux bien la protéger puis essayer de la rassurer.
Nicole: [00:01:27.86] Tu prenais vraiment le temps d'écouter mes peurs, [00:01:30.00] puis de les dédramatiser.
Frederique: [00:01:33.68] Mais moi j'en avais discuté avec mon médecin de famille. Et puis c'est sûr que ce médecin-là m'avait conseillé de dire “Ben écoute, peut-être qu'elle aurait besoin de voir un psychologue, tout ça”.
Nicole: [00:01:44.42] On dit qu'une mère aime inconditionnellement. Je l'ai vraiment senti ça chez ma mère, parce que même si on essayait de trouver des solutions, par exemple aller au psychologue puis que ça fonctionnait pas nécessairement, j'ai toujours senti qu'elle était là pour moi.
Frederique: [00:01:59.54] Je dois avouer [00:02:00.00] que oui, moi je me sentais impuissante, mais en même temps, j'avais quand même une confiance en Frédérique parce qu'elle voulait vraiment s'aider, se comprendre. Puis, tu sais, c'était pas un obstacle de dire “je vais consulter”, au contraire, fait que ça, ça m'a facilité la tâche.
Nicole: [00:02:18.65] Finalement, on m'a diagnostiqué il y a environ un an avec une douance. Dans le fond, c'est haut potentiel intellectuel. Au début, ça a été difficile pour moi d'y croire parce qu'on pense [00:02:30.00] qu'une douance, c'est un cadeau du ciel. Malheureusement, ça vient avec toutes sortes d'autres aspects qui sont difficiles à vivre et dont j'avais vécu l'hypersensibilité, les remises en question constantes, l'excitabilité. Peu importe ce que je vivais, je ne sentais aucun jugement de sa part, au contraire, de l'écoute. Puis même ton impuissance, je le ressentais, puis je voyais que ça, c'était c'était de l'amour pur dans le fond.
Frederique: [00:02:57.41] Frédérique, je suis très fière de la [00:03:00.00] femme que tu es devenue parce que t'as eu un parcours quand même pas facile dans tes questionnements et tes doutes. Mais dis-toi que maintenant tu es une femme mature, qui comprend bien des choses, qui veut quand même toujours s'améliorer. Puis je suis très fière de toi.
Une amie vit beaucoup d’anxiété et elle passe une très mauvaise journée à l’école.
Elle est vraiment très stressée et épuisée à la fin de la journée, et tu t’inquiètes pour elle. Elle est obsédée par un examen important qui aura lieu demain. Tu sais aussi que les déplacements en transport en commun sont une grande source de stress pour elle.

Ta jeune sœur vit une rupture douloureuse
Elle mange très peu et n’a pas quitté sa chambre de la fin de semaine. Elle a reçu un diagnostic de dépression il y a six mois, et les médicaments semblent l’aider, quand elle se souvient de les prendre.

Un de tes proches amis t’a confié récemment qu’il songeait à voir un thérapeute
Quand tu l’interroges sur le sujet quelques jours plus tard, il affirme avoir un rendez-vous la semaine prochaine, ce qui lui cause beaucoup de nervosité. Il ajoute être très occupé et envisager d’annuler la séance.

Bien joué, merci d’avoir répondu!
Tu n’as pas encore accès à cette partie du cours.
Reviens en arrière et termine la leçon précédente, s’il te plaît.