L’histoire de Terry et Vivianne

Lesson is 23% done.

Activity: Checking-In

Remember Ali and Sarah? Help Sarah use Golden Rule #1 Say What You See to check in with Ali.

Hey, sorry I missed your call. So much homework 😫

How should Sarah respond?

What’s with you lately? Are you avoiding me?

Not quite.

This might make Ali defensive.

Good choice!

You stuck to the facts and opened up the conversation.

Let's continue on!

L’histoire de Terry et Vivianne

Regarde cette vidéo de Terry et Vivianne pour voir quels changements elles ont reconnus l’une chez l’autre et comment elles ont appliqué la règle d’or « Dis ce que tu vois ».

Bienvenue au certificat Être là!

Félicitations! Tu as franchi le premier pas d’une démarche qui t’amènera à mieux soutenir tes proches et tes pairs.

Voici ce que tu apprendras tout au long de cette formation :

  • Les signes avant-coureurs qui indiquent qu’une personne pourrait avoir des difficultés de santé mentale;
  • Les 5 règles d’or d’Être là, un cadre pratique pour soutenir une personne en difficulté;
  • des conseils sur l’autosoin, parce que ta santé mentale est tout aussi importante que celle des autres.

Voici ce que tu devras faire :

  • Découvrir chacune des règles d’or dans de courts tutoriels.
  • Écouter les témoignages de personnes qui ont été là pour leurs ami.e.s et leurs proches.
  • Tester tes connaissances grâce à des jeux-questionnaires interactifs.
  • T’exercer à appliquer les règles d’or dans des situations de la vie réelle.

À quoi s'attendre:

Quand tu auras terminé les six leçons, tu recevras la fabuleuse attestation du certificat Être là! Tout au long de la formation, tu remporteras des badges et tu recevras des encouragements de la part d’autres apprenant.e.s du monde entier. Il te faudra environ deux heures pour terminer le certificat Être là. Si tu dois prendre une pause, nous sauvegarderons automatiquement ta progression pour que tu puisses reprendre là où tu étais rendu.e.

Plus que quelques minutes avant le début de la formation… Mais juste avant, nous avons quelques questions pour toi.

« C’est trop cher. Je ne peux pas me le permettre. »

  • Consulter les polices d’assurance de l’école ou du travail de la personne pour voir ce qui est couvert.
  • Faire un budget mensuel avec la personne ou lui proposer un modèle à remplir.
  • Recherche des programmes communautaires ou d’autres options gratuites.

« C’est trop loin. Il n’y a rien près de chez moi. »

  • Rechercher les possibilités de thérapie en ligne ou de lignes d’écoute.
  • Pour les élèves du secondaire : Interroger votre conseiller.ère d’orientation sur le soutien offert localement.
  • Pour les étudiant.e.s du niveau collégial ou universitaire : visiter les services aux étudiant.e.s du campus pour connaître les services offerts.

« Je suis trop occupé.e. Je n’ai pas le temps. »

  • Lui suggérer de faire une liste de tout ce que la personne a à faire, puis l’aider à établir des priorités entre ce qui doit être fait et ce qui peut attendre.
  • L’aider à établir un horaire hebdomadaire, en réservant du temps pour les engagements majeurs et les priorités absolues.
  • Lui demander comment tu peux l’aider à faire avancer les choses.
  • L’encourager à trouver un.e thérapeute flexible sur les horaires de rendez-vous.

« Je n’ai pas de voiture. Je ne peux pas y aller. »

  • Réfléchir à d’autres options, comme le vélo ou le transport en commun. Il est aussi possible de demander à un.e ami.e de l’amener.
  • Peut-être que le.la professionnel.le qu’il.elle consulte offre la possibilité de faire des rencontres virtuelles ou téléphoniques.

« C’est gênant. Je ne veux pas que les gens sachent que je consulte. »

  • Les professionnel.le.s de la santé mentale ont des engagements de confidentialité à respecter. Faire des recherches ou contacter un.e fournisseur.se pour le lui demander.
  • Si la personne choisit de consulter un.e thérapeute, il.elle peut préciser la manière dont il.elle veut être joint.e pour des raisons de confidentialité.
  • Envisager d’appeler ou d’envoyer un texto à une ligne d’écoute anonyme.

« Je ne peux pas faire de thérapie en ligne. Je n’ai pas d’intimité à la maison. »

  • Aller faire une promenade et suivre une thérapie par téléphone plutôt que par Internet.
  • Explorer les possibilités de réserver un espace privé à l’école, chez un.e ami.e ou même dans un centre communautaire local.

Il est l’heure de faire une petite pause et de reposer notre cerveau avec ce petit jeu-questionnaire amusant. Le but est d’avoir du plaisir, mais les questions peuvent aussi t’aider à réfléchir aux points forts que tu as déjà et à ceux que tu peux améliorer lorsqu’il s’agit d’écouter les autres. Ça sonne bien pour toi? (Tu saisis? Ça sonne..? 😉)

Mes ami.e.s diraient que je suis…

Est-ce que ça t’arrive d’interrompre quelqu’un quand il.elle parle? Sois honnête.

Voici à quoi je ressemble quand quelqu’un s’ouvre à moi et me parle de choses difficiles.

Champion.ne de la validation

Tu aimes que les autres se sentent vu.e.s et tu tires une grande fierté de ton talent. Tu as un don pour repérer quelqu’un qui ne va pas bien, mais n’oublie pas que pour devenir un.e champion, il faut de la pratique et du travail. Pour continuer à perfectionner tes capacités d’écoute, n’oublie pas de poser des questions ouvertes, de valider ce que l’autre ressent et de ne pas l’interrompre.

Hocheux.se de tête

Durant une conversation délicate, tu es capable de valider les sentiments d’une personne et de ne pas l’interrompre. Tu hoches souvent la tête pour montrer que tu écoutes. Mais si ton cou a besoin d’une pause, tu peux essayer d’offrir à l’autre un câlin ou une épaule pour pleurer. N’oublie pas de poser des questions ouvertes pour aider l’autre à s’ouvrir et établis un contact visuel pour montrer que tu l’écoutes.

Colleux.se

Les gros câlins enveloppants sont ta spécialité. Quand un.e ami.e a besoin d’un câlin, il.elle se tourne vers toi. Pour être encore plus à l’écoute, n’oublie pas de valider ce que l’autre ressent, de poser des questions ouvertes et d’établir un contact visuel pour montrer que tu l’écoutes. Ça aussi, ça réconforte les gens!

Pro du contact visuel

Tu es tellement doué.e pour établir un contact visuel que tu n’as probablement jamais perdu un duel de regards! Mais ne te limite pas à cette seule compétence; diversifie-toi un peu! Essaie de poser des questions ouvertes et de hocher la tête pour montrer à l’autre que tu l’écoutes. Ta posture est également importante; décroise les bras et détends-toi.

Juste quelques petites questions avant de commencer.

Nous sommes vraiment content.e.s que tu sois là ! Avant de commencer, on aimerait en savoir un peu plus sur toi. Ça nous aide à mieux te connaître et à mieux adapter la formation aux personnes et communautés qui l’utilisent en quête de soutien. Tes réponses resteront bien sûr 100 % confidentielles et ne seront accessibles qu’à l’équipe de Jack.org.

Pour en savoir plus, clique ici ou écris-nous à bethere@jack.org.

Quel nom doit apparaître sur ton attestation?

Vous avez été orienté vers cette page par une école ou une organisation ?

Quelle est ta date de naissance ?

Si vous avez 13 ans ou moins, nous vous recommandons fortement de remplir le Certificat Être là sous la supervision d'un adulte.

À quel genre t’identifies-tu le plus?

Es-tu une personne trans?

Dans quel pays vis-tu?

À quels groupes ethniques ou raciaux t'identifies-tu?

Vous identifiez-vous comme… (cochez toutes les réponses pertinentes)

Maintenant, prends une minute et réfléchis à un moment où un.e ami.e a eu besoin de ton soutien. Dans quelle mesure es-tu d’accord avec les énoncés qui suivent?

(Sois honnête. Tes réponses resteront confidentielles.)

Je suis capable de reconnaître une personne qui a des difficultés de santé mentale.

               Je suis capable d’entamer une conversation avec une personne à propos de sa santé mentale, sans la juger.

Je peux créer un climat de confiance pour aider quelqu’un à se confier sur ce qui le.la préoccupe.

               Je suis capable de trouver des moyens pratiques pour soutenir une personne qui a des difficultés de santé mentale.

               Je suis capable d’établir et de maintenir des limites saines tout en soutenant une personne qui a des difficultés de santé mentale.

Je peux trouver des ressources appropriées en matière de santé mentale pour un.e ami.e.

Je peux aider un.e ami.e à accéder aux ressources appropriées en matière de santé mentale.

Je serais à l’aise de soutenir un.e ami.e qui a des difficultés de santé mentale.

Je me sentirais à l’aise de demander de l’aide si j’avais des difficultés de santé mentale.

Si je vois qu'un.e ami.e ou un.e proche semble traverser une période difficile mentalement, j'essaierais d'engager la discussion avec lui.elle pour en parler.

Pourquoi veux-tu obtenir le certificat Être là? Coche tout ce qui s’applique :

Parfait! C’est parti. Que l’apprentissage commence!

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BRAVO!

Tu as terminé le certificat Être là. Merci de t’informer et de contribuer à créer un monde où nous pouvons tous.toutes mieux nous soutenir les un.e.s les autres.

Permets-nous de te poser quelques petites questions avant de te remettre ton attestation.

               Je suis capable … de reconnaître une personne qui a des difficultés de santé mentale.

Je suis capable … d’entamer une conversation avec une personne à propos de sa santé mentale, sans la juger.

Je peux créer un climat de confiance pour aider quelqu’un à se confier sur ce qui le.la préoccupe.

Je suis capable de trouver des moyens pratiques pour soutenir une personne qui a des difficultés de santé mentale.

               Je suis capable d’établir et de maintenir des limites saines tout en soutenant une personne qui a des difficultés de santé mentale.

Je peux trouver des ressources appropriées en matière de santé mentale pour un.e ami.e.

Je peux aider un.e ami.e à accéder aux ressources appropriées en matière de santé mentale.

Je serais à l’aise de soutenir un.e ami.e qui a des difficultés de santé mentale.

               Je me sentirais à l’aise de demander de l’aide si j’avais des difficultés de santé mentale.

Si je vois qu'un.e ami.e ou un.e proche semble traverser une période difficile mentalement, je me sens capable d'ouvrir la discussion et d'en parler avec lui.elle.

Nous aimerions connaître ton avis sur le certificat Être là.

Indique dans quelle mesure tu es d’accord avec les énoncés ci-dessous.

Le certificat Être là a amélioré ma capacité à reconnaître les signes de difficultés de santé mentale chez une personne.

Après avoir suivi le certificat Être là, je me sens mieux outillé.e pour soutenir en toute sécurité une personne qui a des difficultés de santé mentale.

Après avoir terminé le certificat Être là, je me sens mieux outillé.e pour prendre soin de ma propre santé mentale.

Dans quelle mesure es-tu satisfait.e de ton expérience du certificat Être là?

Changerais-tu quelque chose au certificat Être là?

Prends une minute pour envoyer des mots d’encouragement à une autre personne qui fait son certificat Être là en ce moment.

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Écouter la piste audio

Terry et Vivianne : Je vais prendre l’initiative, parce que je vois ces signes-là

Lire la transcription

Vivianne : Moi, c’est Vivianne.

Terry : Et moi, c’est Terry.

Vivianne : Je pense t’avais répondu à ma story sur Instagram et après on avait essayé d’aller se prendre un petit café au MELK et on est resté, genre, cinq heures sur place à parler.

Terry : Oui, jusqu’à la fermeture.

Vivianne : Bien, moi, c’est un petit peu difficile de voir les signes quand ça va pas, parce que Terry, elle, vit en Suisse, moi, je vis à Montréal. C’est six heures de décalage et on se voit pas en personne. Mais on se voit en photos, en FaceTime et les publications sur les réseaux.

Terry : Moi, de temps en temps, je vais voir ses publications story sur Instagram et je vois qu’elle va pas bien ou elle a l’air fatiguée, elle se tient trop dans sa chambre. Et, oui, je vais prendre l’initiative, parce que je vois ces signes-là, puis je me suis dit, genre, je vais prendre de ses nouvelles puis lui dire « Comment ça va? ».

Vivianne : Comme Terry est très verbale généralement, je vois les signes, elle me le dit. Mais c’est souvent dans une conversation un petit peu, genre : « Ah, j’ai pas mangé », « ah, j’ai… ou je suis pas sortie de chez moi », « ah, je me suis pas douchée aujourd’hui ». Puis là je mentionne, je dis : « Ah, tu t’es pas douchée? Comment ça, est-ce que ça va? » Et là, on part sur une conversation plus émotive. Généralement.

Terry : Euhm, tu me donnes de l’espace et tu me donnes aussi une certaine sécurité, une neutralité, puis ça me laisse développer ce que je ressens puis c’est ce que j’ai vraiment besoin. Et tu le fais parfaitement.

Vivianne : En fait, la notion d’espace mental, c’est vraiment Terry qui me l’a introduit y’a trois ans. Bien, quand on s’est rencontré au MELK.

Terry : Ah, c’est vrai.

Vivianne : Oui. C’est là qu’elle m’a dit, genre : ah, est-ce que t’as l’espace mental pour m’écouter? Et j’étais, genre, c’est la première fois qu’on m’avait posé la question et, depuis, je la pose tout le temps.

Vivianne : Terry, genre, je suis plus vraiment ton amie que ta psy. Et c’est vraiment intéressant de pas traverser cette ligne…où, genre, les balises sont vraiment claires, et je serai jamais… comme, je suis là pour toi, mais je suis pas une professionnelle.

Terry : C’est ça, oui.

Vivianne : Je peux pas m’occuper de ton espace, bon, genre, ta santé mentale.

Terry : En fait, c’est vrai que Vivianne a les solutions beaucoup plus vite que moi, en général. Et ça va, parce qu’au final elle le fait pas à ma place. Elle me laisse l’espace, elle me donne le temps pour que je m’y rende moi-même.

Vivianne : Ce que j’aime le plus en étant amie avec Terry, c’est voir comment son cheminement avance. Voir comment elle va de mieux en mieux. Des fois, ça va moins bien. Des fois, ça va vraiment très bien. Et, genre, juste voir et, comme, être là pour elle c’est vraiment important pour moi, parce que, genre, j’ai juste envie qu’elle soit heureuse puis qu’elle… Elle mérite d’être heureuse et c’est vraiment important pour moi.

Text content.

According to Be There, how should you create a safe environment for someone struggling with their mental health?

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A classmate is feeling so anxious about an upcoming exam that they’re nauseous and have barely eaten all week. This change is…

Presque, mais ta réponse n’est pas tout à fait complète.

Bon travail.

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Ali joined the science club

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Fill in the blanks:

🎶 "We're talking 'bout !" 🎵

Almost, but your answer isn't quite complete

C’est exact!

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Vidéos facultatives

Écouter la piste audio

Emily et Anna : Je lui ai fait part de mes préoccupations à son sujet

Lire la transcription

Emily : Je m’appelle Emily. Donc Anna c’est ma meilleure amie. Comme elle a dit, on se connaît depuis 12 ans. J’pense que vraiment, après le cégep, j’ai su que je pouvais tout te dire.

Anna : L’année passée, durant l’été j’étais stressée. J’avais beaucoup de choses dans… à penser. Je le vivais toute seule, puis Emily restait en ma compagnie, avec moi, puis on se parlait, puis juste un sujet est venu et… d’une situation où j’étais pas contente avant.

Emily : J’ai vu que t’étais pas très heureuse.

Anna : Mais j’pense au début j’étais plus sur la défensive. J’pouvais pas le croire, puis…

Emily : T’as comme… t’as résisté.

Anna : Ouais, j’ai résisté.

Emily : T’étais comme : « Non, j’suis correct », puis j’suis comme…

Anna : Non, j’pense pas.

Emily : J’pense pas. Normalement t’es tellement heureuse, puis t’es tellement une personne qui est comme full d’énergie que dès que j’ai vu que ça fait une ou deux semaines que t’étais pas comme ça, j’ai su qu’y’ avait quelque chose qui clochait. Puis même quand je t’ai demandé : « Est-ce que ça va ? Est-ce que t’es heureuse ? », puis que tu me disais oui, mais je m’excuse, mais je te croyais pas. T’avais juste comme un sentiment de vraiment comme…

Anna : Restreinte.

Emily : Restreinte, mais aussi t’avais pas l’air heureuse. T’avais pas l’énergie que t’avais normalement.

Anna : J’pensais vraiment que tu voulais que je sois plus honnête avec moi-même, et puisque je n’étais pas de même, y fallait que tu me dises… y fallait que tu…

Emily : Pousses un peu.

Anna : C’était elle qui m’a fait réaliser beaucoup ce qui se passait, parce qu’avant je savais pas que c’était un problème. J’suis supposée toute d’être normale, puis c’est juste moi qui pensais que c’était pas normal, mais après que j’y’ai parlé, puis elle me disait son opinion un peu.

Emily : Puis mon point de vue.

Anna : Puis son point de vue du sujet. C’est ça qui m’a fait réaliser que ce que je ressentais, c’était pas normal.

Emily : C’est juste de pas avoir peur d’aller voir la personne que t’as l’impression qui va pas très bien. C’est toujours mieux d’aller demander que de laisser la situation se dérouler toute seule, parce que tu sais jamais à quel point tu pourrais faire une différence dans sa vie. Tu sais pas, peut-être l’autre personne avait justement besoin…

Anna : Juste d’une personne.

Emily : Qu’une personne vienne la voir, puis dise : « Aye, en passant, es-tu correct ? J’ai l’impression que ça va pas très bien. Veux-tu en parler ? »

Propose-lui de lui prêter ton vélo ou de l'accompagner dans l'autobus.

+

Faites une pause nature ensemble.

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Assume quelques tâches pour elle ou propose-lui de les faire avec elle.

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Suggère-lui une activité qu’elle aime faire, même si ce n’est pas ton activité préférée.

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Rappelle-lui de prendre ses médicaments.

+

Propose-lui de lui montrer tes notes de cours.

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Propose-lui de le rencontrer avant son rendez-vous pour relâcher un peu la pression.

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Propose-lui de l’accompagner à son rendez-vous.

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Prépare-lui un repas ou apporte-lui son plat préféré.

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Invite-la à te retrouver après l’école pour faire une pause et pour relaxer un peu.

+

Aide-le à se préparer pour sa séance. Écrivez ensemble des questions qu’il souhaite poser à son thérapeute.

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Aide-le à organiser son emploi du temps, à remplir des documents et à bien suivre ses rendez-vous.

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Demande-lui ce dont il a besoin. S’il ne le sait pas, tu peux lui faire des suggestions.

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Demande-lui ce dont elle a besoin. Si elle ne le sait pas, tu peux lui faire des suggestions.

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Demande-lui ce dont elle a besoin. Si elle ne le sait pas, tu peux lui faire des suggestions.

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Faites des recherches ensemble pour comprendre le parcours, l’approche et les valeurs du thérapeute.

+

Une amie vit beaucoup d’anxiété et elle passe une très mauvaise journée à l’école.

Elle est vraiment très stressée et épuisée à la fin de la journée, et tu t’inquiètes pour elle. Elle est obsédée par un examen important qui aura lieu demain. Tu sais aussi que les déplacements en transport en commun sont une grande source de stress pour elle.

Ta jeune sœur vit une rupture douloureuse

Elle mange très peu et n’a pas quitté sa chambre de la fin de semaine. Elle a reçu un diagnostic de dépression il y a six mois, et les médicaments semblent l’aider, quand elle se souvient de les prendre.

Un de tes proches amis t’a confié récemment qu’il songeait à voir un thérapeute

Quand tu l’interroges sur le sujet quelques jours plus tard, il affirme avoir un rendez-vous la semaine prochaine, ce qui lui cause beaucoup de nervosité. Il ajoute être très occupé et envisager d’annuler la séance.

Bien joué, merci d’avoir répondu!

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Reviens en arrière et termine la leçon précédente, s’il te plaît.