Activity: Checking-In
Remember Ali and Sarah? Help Sarah use Golden Rule #1 Say What You See to check in with Ali.
Hey, sorry I missed your call. So much homework 😫
What’s with you lately? Are you avoiding me?
This might make Ali defensive.
You stuck to the facts and opened up the conversation.
L’histoire de Terry et Vivianne
Regarde cette vidéo de Terry et Vivianne pour voir quels changements elles ont reconnus l’une chez l’autre et comment elles ont appliqué la règle d’or « Dis ce que tu vois ».
Vivianne : Moi, c’est Vivianne.
Terry : Et moi, c’est Terry.
Vivianne : Je pense t’avais répondu à ma story sur Instagram et après on avait essayé d’aller se prendre un petit café au MELK et on est resté, genre, cinq heures sur place à parler.
Terry : Oui, jusqu’à la fermeture.
Vivianne : Bien, moi, c’est un petit peu difficile de voir les signes quand ça va pas, parce que Terry, elle, vit en Suisse, moi, je vis à Montréal. C’est six heures de décalage et on se voit pas en personne. Mais on se voit en photos, en FaceTime et les publications sur les réseaux.
Terry : Moi, de temps en temps, je vais voir ses publications story sur Instagram et je vois qu’elle va pas bien ou elle a l’air fatiguée, elle se tient trop dans sa chambre. Et, oui, je vais prendre l’initiative, parce que je vois ces signes-là, puis je me suis dit, genre, je vais prendre de ses nouvelles puis lui dire « Comment ça va? ».
Vivianne : Comme Terry est très verbale généralement, je vois les signes, elle me le dit. Mais c’est souvent dans une conversation un petit peu, genre : « Ah, j’ai pas mangé », « ah, j’ai… ou je suis pas sortie de chez moi », « ah, je me suis pas douchée aujourd’hui ». Puis là je mentionne, je dis : « Ah, tu t’es pas douchée? Comment ça, est-ce que ça va? » Et là, on part sur une conversation plus émotive. Généralement.
Terry : Euhm, tu me donnes de l’espace et tu me donnes aussi une certaine sécurité, une neutralité, puis ça me laisse développer ce que je ressens puis c’est ce que j’ai vraiment besoin. Et tu le fais parfaitement.
Vivianne : En fait, la notion d’espace mental, c’est vraiment Terry qui me l’a introduit y’a trois ans. Bien, quand on s’est rencontré au MELK.
Terry : Ah, c’est vrai.
Vivianne : Oui. C’est là qu’elle m’a dit, genre : ah, est-ce que t’as l’espace mental pour m’écouter? Et j’étais, genre, c’est la première fois qu’on m’avait posé la question et, depuis, je la pose tout le temps.
Vivianne : Terry, genre, je suis plus vraiment ton amie que ta psy. Et c’est vraiment intéressant de pas traverser cette ligne…où, genre, les balises sont vraiment claires, et je serai jamais… comme, je suis là pour toi, mais je suis pas une professionnelle.
Terry : C’est ça, oui.
Vivianne : Je peux pas m’occuper de ton espace, bon, genre, ta santé mentale.
Terry : En fait, c’est vrai que Vivianne a les solutions beaucoup plus vite que moi, en général. Et ça va, parce qu’au final elle le fait pas à ma place. Elle me laisse l’espace, elle me donne le temps pour que je m’y rende moi-même.
Vivianne : Ce que j’aime le plus en étant amie avec Terry, c’est voir comment son cheminement avance. Voir comment elle va de mieux en mieux. Des fois, ça va moins bien. Des fois, ça va vraiment très bien. Et, genre, juste voir et, comme, être là pour elle c’est vraiment important pour moi, parce que, genre, j’ai juste envie qu’elle soit heureuse puis qu’elle… Elle mérite d’être heureuse et c’est vraiment important pour moi.
Text content.
According to Be There, how should you create a safe environment for someone struggling with their mental health?
A classmate is feeling so anxious about an upcoming exam that they’re nauseous and have barely eaten all week. This change is…
Ali joined the science club
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Vidéos facultatives
Emily : Je m’appelle Emily. Donc Anna c’est ma meilleure amie. Comme elle a dit, on se connaît depuis 12 ans. J’pense que vraiment, après le cégep, j’ai su que je pouvais tout te dire.
Anna : L’année passée, durant l’été j’étais stressée. J’avais beaucoup de choses dans… à penser. Je le vivais toute seule, puis Emily restait en ma compagnie, avec moi, puis on se parlait, puis juste un sujet est venu et… d’une situation où j’étais pas contente avant.
Emily : J’ai vu que t’étais pas très heureuse.
Anna : Mais j’pense au début j’étais plus sur la défensive. J’pouvais pas le croire, puis…
Emily : T’as comme… t’as résisté.
Anna : Ouais, j’ai résisté.
Emily : T’étais comme : « Non, j’suis correct », puis j’suis comme…
Anna : Non, j’pense pas.
Emily : J’pense pas. Normalement t’es tellement heureuse, puis t’es tellement une personne qui est comme full d’énergie que dès que j’ai vu que ça fait une ou deux semaines que t’étais pas comme ça, j’ai su qu’y’ avait quelque chose qui clochait. Puis même quand je t’ai demandé : « Est-ce que ça va ? Est-ce que t’es heureuse ? », puis que tu me disais oui, mais je m’excuse, mais je te croyais pas. T’avais juste comme un sentiment de vraiment comme…
Anna : Restreinte.
Emily : Restreinte, mais aussi t’avais pas l’air heureuse. T’avais pas l’énergie que t’avais normalement.
Anna : J’pensais vraiment que tu voulais que je sois plus honnête avec moi-même, et puisque je n’étais pas de même, y fallait que tu me dises… y fallait que tu…
Emily : Pousses un peu.
Anna : C’était elle qui m’a fait réaliser beaucoup ce qui se passait, parce qu’avant je savais pas que c’était un problème. J’suis supposée toute d’être normale, puis c’est juste moi qui pensais que c’était pas normal, mais après que j’y’ai parlé, puis elle me disait son opinion un peu.
Emily : Puis mon point de vue.
Anna : Puis son point de vue du sujet. C’est ça qui m’a fait réaliser que ce que je ressentais, c’était pas normal.
Emily : C’est juste de pas avoir peur d’aller voir la personne que t’as l’impression qui va pas très bien. C’est toujours mieux d’aller demander que de laisser la situation se dérouler toute seule, parce que tu sais jamais à quel point tu pourrais faire une différence dans sa vie. Tu sais pas, peut-être l’autre personne avait justement besoin…
Anna : Juste d’une personne.
Emily : Qu’une personne vienne la voir, puis dise : « Aye, en passant, es-tu correct ? J’ai l’impression que ça va pas très bien. Veux-tu en parler ? »
Une amie vit beaucoup d’anxiété et elle passe une très mauvaise journée à l’école.
Elle est vraiment très stressée et épuisée à la fin de la journée, et tu t’inquiètes pour elle. Elle est obsédée par un examen important qui aura lieu demain. Tu sais aussi que les déplacements en transport en commun sont une grande source de stress pour elle.

Ta jeune sœur vit une rupture douloureuse
Elle mange très peu et n’a pas quitté sa chambre de la fin de semaine. Elle a reçu un diagnostic de dépression il y a six mois, et les médicaments semblent l’aider, quand elle se souvient de les prendre.

Un de tes proches amis t’a confié récemment qu’il songeait à voir un thérapeute
Quand tu l’interroges sur le sujet quelques jours plus tard, il affirme avoir un rendez-vous la semaine prochaine, ce qui lui cause beaucoup de nervosité. Il ajoute être très occupé et envisager d’annuler la séance.

Bien joué, merci d’avoir répondu!
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Reviens en arrière et termine la leçon précédente, s’il te plaît.